Renforcer le « bleu olympique d’hiver »
Nous faisons humblement de notre mieux pour booster le « Bleu olympique d’hiver » !
L’étude montre qu’à l’heure actuelle, les sources mobiles représentent environ 46 % des sources locales de pollution atmosphérique par les particules fines (PM2,5) à Pékin. Par conséquent, le contrôle de la pollution liée au trafic est devenu une priorité en matière de surveillance environnementale et d’élaboration de politiques de prévention. Le principal composant des PM2,5 émises directement par des sources mobiles est la suie (noir de carbone), et les oxydes d’azote sont des polluants liés à la circulation des camions et des véhicules. C’est pourquoi une attention particulière a été accordée au carbone noir, à l’oxyde nitrique (NO) et au dioxyde d’azote (NO2) dans le programme mobile de surveillance des polluants.
Tout au long des Jeux Olympiques et Paralympiques d’hiver de Pékin, la qualité de l’air est étroitement surveillée dans diverses zones sensibles, notamment les rocades et les autoroutes de Pékin, et notamment pendant les périodes de pointe de trafic (matin, soir et nuit). Cette surveillance apporte une contribution importante aux actions de protection de l’environnement pendant les Jeux olympiques d’hiver.